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Redonner au citoyen sa dignité ainsi que sa place dans la société

L’aide sociale en France regroupe l'ensemble des prestations sociales versées aux personnes en situation de pauvreté ou d'extrême pauvreté ainsi que de précarité. L’aide sociale doit avoir pour objectif de répondre aux besoins primordiaux des personnes en difficulté.


On la distingue de l'action sociale, qui elle, englobe l'aide sociale mais également les actions engagées pour sortir les personnes concernées de cette situation.


Une prestation de protection sociale consiste le plus souvent à un versement d'argent effectué par un organisme public à un ménage pour couvrir des dépenses que la collectivité considère  correspondre à des objectifs sociaux : santé, famille, chômage, pauvreté, invalidité, etc.


La reprise économique due à la politique générale proposée par l’UED et la baisse de la dette publique doivent relancer notre dynamique de création d’emplois qui se traduira par une diminution des charges et aides sociales diverses versées aux familles et aux entreprises contribuant et participant de ce fait à l’équilibre de notre budget.


Dans notre initiative de simplifier les lois et codes dans le cadre de la grande réforme de l’état, nous préconisons une inversion des mécanismes financiers d’aides sociales en équilibrant les budgets : baisse des prélèvements sociaux et impôts ce qui garanti une augmentation directe des salaires donc un accroissement du pouvoir d’achat, et baisse des aides sociales liée directement à l’augmentation de ce pouvoir d’achat.


L’aide sociale telle que nous la concevons et la vivons actuellement en France ne peut plus durer : il faut réformer le système dans le cadre d’une politique sociale cohérente et trouver un juste équilibre qui redonne à la fois toute sa dignité à l’individu par une aide personnalisée et efficace en terme d’accompagnement de projet, sans pour autant le rendre dépendant de ces aides et assurer dans le même temps une reprise économique qui garanti la pérennité de notre engagement quant à l’action sociale destinée à une cohésion sociale plus juste et plus solidaire.


Dans cette perspective, nous sommes entre autres pour la suppression du RMI remplacée par un « contrat d’engagement citoyen » qui consiste à ce que l’allocataire ne bénéficie de conditions de ressources que dans le cadre d’un emploi de solidarité. Ainsi, une allocation équivalente au SMIC horaire pour un emploi à temps plein ou un temps partiel sera versée à l’allocataire dans le cadre d’une mission de travail effectuée au service de l’état ou des collectivités territoriales.


Cet emploi d’intérêt collectif au sein des collectivités territoriales doit se traduire par l’emploi massif d’agents d’état à contrat spécifique (CDD de 5 ans avec formation professionnelle débouchant sur un diplôme), par la valorisation de l’enseignement et de la formation professionnelle, par la revalorisation des minima sociaux…


Les aides financières doivent être consenties et accordées aux citoyens présentant un projet de réinsertion sociale dans la mesure du possible. Il ne peut être question, dans le contexte économique et social actuel de « lâcher des milliards d’euro » au seul titre d’une aide sociale ou de précarité.


Aide alimentaire, sanitaire et logement pour les SDF et personnes sans conditions de ressources ou ressources faibles. Aide au logement, dispensaires de santé pour les plus démunis, aide à l’insertion pour les repris de justice sont autant de mesures sociales fortes et dignes d’un pays moderne dont la solidarité a fondé la cohésion de ses peuples qui la fonde et dont nous soutenons l’action.


Bien sur, nous n’avons pas ici vocation à traiter en détail de toutes les aides possibles et il ne saurait y avoir de progrès social digne de ce nom sans une politique généreuse humainement mais économiquement viable pour notre économie et notre système social afin qu’il puisse perdurer.


 

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