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« La politique a besoin d’un souffle nouveau. »

 

 

 

En ce sens, la création de l’UED représente un tournant majeur dans l’histoire de la politique française.

 

En effet, l’UED est un parti entièrement nouveau, contrairement à tous les autres partis politiques Français qui ne sont que des regroupements ou scissions de partis existants et qui restent « filiales et succursales de ces partis ». Exception faite des « verts » issus de mouvements écologiques de la société civile qui utilisent les élections de 1974 pour faire connaître et appliquer leurs idées, tous les partis français comptant sur la scène nationale au premier plan ont été édifiés et créés depuis plus de 50 ans. Aucun nouveau parti n’est venu apporter aux Français, et depuis, aux Européens, l’espérance d’une vision nouvelle et novatrice.

 

Cette réponse existe désormais avec l’UED.

 

L’UED est née de la volonté de ses géniteurs, des femmes et des hommes simples, tous issus de la société civile. Aucun membre fondateur n’est encarté dans aucun parti politique. Aucun membre fondateur ne possède de mandat électoral. Notre réflexion sur la politique s’inspire de la philosophie car des solutions à présenter à nos concitoyens existent encore et sont devant nous. Il n’y a de fatalité que pour les fatalistes.

 

Nous croyons au rôle éminent des partis. S’engager à l’UED, c’est une façon pour nos concitoyens de faire vivre la démocratie, de se faire entendre, de conserver nos principes républicains de liberté et d’égalité et d’apporter leur énergie au grand projet de réformer notre société.


Nous proposons aujourd’hui à nos concitoyens de se rassembler dans une formation politique démocratique ouverte à tous. Chacun doit pouvoir s’y exprimer et débattre pour élaborer des idées nouvelles, pour les mettre en oeuvre.

 

 

Cette charte est notre commencement, notre discours de la méthode, l’énoncé de nos valeurs.

 

 

Nous affirmons deux principes pour restaurer la confiance de nos concitoyens dans l’action publique : les écouter et agir avec eux et pour eux. Aucun intérêt personnel ne saurait être admis. Seul, l’intérêt de tous les citoyens doit être notre objectif tout en respectant les valeurs que sont celles de notre démocratie : liberté, égalité, fraternité. A ces valeurs républicaines, nous y ajoutons l’Europe, l’Union dans la solidarité des peuples et la Démocratie.

 

L’action de la politique dans le débat démocratique que nous menons n’a qu’un seul objectif : servir le citoyen. Nous avons la lourde responsabilité en tant que futur élu de protéger ses intérêts que ce citoyen qui nous confie : nous ne devons pas le trahir : notre devoir à son égard est d’être honnête et transparent dans notre action.

 

Cette démocratie commence dans le débat interne de notre mouvement. Notre charte nous éclaire sur notre idéologie et le comportement à adopter, nos statuts et notre règlement intérieur sur notre fonctionnement, notre « cahier d’orientation politique » sur nos positions en matière de conviction politique. Mais la démocratie n’est ni l’anarchie ni la dictature, bien que ses limites soient parfois bien difficilement identifiables selon la perception de l’individu. Des règles sont à observer si l’on veut réussir tous ensemble car, sans l’adhésion de tous à ces mêmes règles, rien ne pourra fonctionner. C’est pourquoi chacun de nous doit se sentir utile aux autres et porter en nous les valeurs qui sont les nôtres. La démocratie commence chez nous, au sein de notre mouvement, dans nos instances, dans nos fédérations.

 

L’UED, un parti au cœur de la politique européenne

 

L’UED, c’est d’abord et avant tout un parti moderne, né de la volonté de personnes issues de la société civile, C’est une première dans l’histoire récente des partis politiques en France. C’est une façon nouvelle de créer un parti politique, de le gérer, de l’administrer, de le faire vivre. Notre ambition est d’en faire un grand parti européen, d’où son nom : UED, Union Européenne des Démocrates.

 

Notre projet repose sur des valeurs fondatrices qui inspirent et guident notre engagement : Liberté, égalité, fraternité. Trois valeurs qui paraissent si simples mais dont nous avons pourtant perdu toute notion de valeur. A l’UED, ces mots signifient quelque chose d’important. Nous allons au travers de cette charte vous en donner tout le sens.

 

Parce que au-delà de nos idées dans le débat politique, nous nous élevons en des valeurs humanistes qui replacent l’homme au centre du débat de notre société. Les crises que nous avons connues au travers de l’histoire ne sont que le fruit des politiques que nos illustres prédécesseurs nous ont laissé en témoignage. « L’histoire doit nous apprendre à nous méfier de l’avenir » et celle-ci doit nous enseigner des valeurs plus importantes que celles qui nous conduisent aujourd’hui à des politiques de rigueur et de conformisme. Le débat semble aujourd’hui être clos et la mondialisation semble devoir standardiser un stéréotype de société et d’individu. Comme dans certaines œuvres de science-fiction, nous voyons alors disparaître nos traditions, nos cultures et notre identité. A l’UED nous refusons ce modèle et relevons le défi de nos libertés et de nos droits, nous voulons que chaque individu puisse choisir de vivre sa vie telle qu’il le souhaite, avec le moins de contraintes possibles.

 

Plus que jamais, l’homme cherche ses racines et refuse ce modèle de standardisation. L’Europe qui se profile à l’horizon ne les rassure pas. Il n’est pas une union qui ne peut se faire sans son peuple, au détriment de toutes ces valeurs morales qui ont forgé son identité, sa culture, son histoire.


Nous souhaitons que les femmes et les hommes de France et d’ailleurs redécouvrent le « sens noble » de la politique dans l’union d’une idée forte et fédératrice. Un engagement serein pour l’avenir nous conduisant de nouveau vers des jours meilleurs.

 

Cette union que nous souhaitons se fera non pas par une alliance de partis politiques ou de formations hétéroclites mais sera le fruit d’une politique transparente et cohérente conduisant notre parti vers le retour d’une vraie démocratie centrée autour de valeurs fortes et solidaires.

 

Face aux pourfendeurs de discours démagogiques, aux « collaborateurs de la première heure » qui retournent leur veste au moindre coup de vent, aux opportunistes, à ceux qui se retrouvent là ou ils ne devraient pas être par le fait du hasard ou de circonstances, il existe une possible union, celle d’hommes et de femmes prêts à partager des convictions qui les rassemblent autour d’idées fortes et nouvelles.


Ces valeurs de courage politique, d’honnêteté, de franchise, d’humanité, de solidarité sont à nos yeux essentielles et indispensables pour redonner à la vie politique et aux citoyens l’espérance de croire à nouveau qu’il est possible de réhabiliter la vie politique.

 

 

L’Europe est notre horizon, notre avenir, notre chance. C’est à la fois une réalité, une fatalité et une aventure.

 

Victor Hugo a souvent rêvé qu'un jour existeraient les États-Unis d'Europe faisant le pendant aux États-Unis. Son discours prononcé le 21 août 1849, à l'occasion de l'ouverture du Congrès de la Paix à Paris, est resté célèbre. Il y évoque une Europe enfin pacifiée, unie dans un même gouvernement. La suite de l'histoire lui donne tort, avec la guerre de 1870 et les deux guerres mondiales. Puis arrive la guerre froide, qui divise l'Europe en deux blocs antagonistes. Malgré tout, le général de Gaulle conserve l'espoir, parlant à plusieurs reprises d'une vaste Europe allant de l'Atlantique à l'Oural. La chute du mur de Berlin et l'effondrement du bloc soviétique pourraient un jour lui donner raison.

 

 « L’Europe ne doit pas être simplement un espace géographique ou géopolitique sur une carte du monde, elle doit rester le berceau de la démocratie, un espace de paix, de liberté, de fraternité et de solidarité pour tous ». Ce doit être, pour réussir ce pari, un formidable espace économique avec une redéfinition de ces notions et des valeurs sociales qui la constitue et qui permettra à tous ses citoyens de s’épanouir. Cette Europe doit aussi et naturellement respecter notre environnement et ce, dans tous les domaines. Cette Europe enfin, doit être une grande union fière de ses peuples, de son histoire, de son identité, de ses cultures et nous ne voulons en aucun cas formaliser et standardiser tous ces peuples si riches de traditions diverses à ne devenir qu’un seul et unique modèle stéréotypé. Nous devons préserver l’identité de tous, respecter nos différences, nos croyances, nos coutumes, nos cultures, nos traditions.

 

Mais cette entreprise difficile exige d’inventer les formes d’une construction où chaque pays conserve son identité tout en s’unissant aux autres. L’Europe doit rester proche des citoyens: les décisions pour lesquelles les intérêts de tous seraient assurés devraient être prises au niveau européen, tandis que celles qui peuvent être arrêtées au plus près du citoyen doivent rester à des échelons de proximité, qu’ils soient nationaux, régionaux ou locaux, comme c’est le cas dans chaque pays de l’union. Ainsi, nous conserverons notre identité qui nous est si chère, notre patrimoine culturel et nos valeurs tout en nous unissant dans des domaines dont on ne saurait être suffisamment forts seuls.

 

L’adhésion de nouveaux états doit se faire en concertation avec tous les habitants concernés par référendum ou vote du parlement selon les pays, selon les lois qui leur sont propres. Mais l’Europe, pour autant que nous voulons qu’elle vive doit se doter d’une constitution faisant d’elle un « état solidaire » et dont nous devons fixer dès aujourd’hui les limites qu’elle doit se fixer. Nous ne pensons pas, à l’UED, que des pays dont la situation géographique est clairement définie sur un autre continent, et en dehors de toute polémique, puissent adhérer à l’Union Européenne.

 

Avec ce principe de complémentarité et de solidarité, l’Europe peut alors se matérialiser dans des projets communs qui amélioreront la vie de tous. Notre vision de l’Europe est celle d’une Europe des nations, des cultures et des peuples conduisant des projets. Nous refusons la vision étroite d’une Europe qui se réduirait à la seule coopération économique. L’Europe n’a de sens que par la communauté humaine qui la fonde. Une Europe forte et puissante peut relever plus efficacement les défis d’un monde où la concurrence entre les pays est de plus en plus rude. L’Europe nous permet, ensemble, de développer des chantiers qui ne sont plus à la portée d’un seul pays dans le nouveau contexte de la mondialisation. Elle nous permet d’avoir plus de poids et d’agir pour réguler par le droit et le dialogue les rapports entre les différentes nations dans le cadre des institutions internationales.

 

 

La démocratie doit refléter des idées fédératrices qui conduisent un peuple vers des jours meilleurs et sereins.

 

Rassemblés autour d’un même dessein, nous voulons réhabiliter la politique avec quelques idées simples : efficacité, pragmatisme, ouverture et dialogue. A partir de la charte que nous proposons à nos citoyens, nous voulons construire ensemble l’avenir : « une société créative et solidaire, un espace dont les Européens soient fiers, une démocratie exigeante et juste ».


Nous entrons dans un monde nouveau. Le temps s’est accéléré. Nous quittons une époque où un travail durable semblait garanti à chacun, où les règles sociales paraissaient bien établies dans une société cloisonnée. Les frontières sont aujourd'hui devenues perméables et la concurrence est mondiale. La société est plus mobile et les références plus floues. Le développement économique et la science sont capables de grands progrès. Il faut que notre société en bénéficie, mais il faut aussi les maîtriser pour en prévenir les excès. Nos horizons s’élargissent sans cesse. Nous avons tous les atouts pour réussir : ayons l’esprit de conquête. Imaginons la société qui permettra aux Européens d’être plus créatifs, plus solidaires, plus heureux. Entre les risques et les espoirs, construisons notre avenir.

 

Le temps du politique dépasse le court terme. Le temps des petites réformettes est désormais terminé si nous ne voulons pas que notre avenir soit menacé. Voir plus loin, voir plus grand, voir plus juste, discerner les problèmes d’aujourd’hui et de demain pour construire l’avenir : il faut savoir anticiper, c’est notre devoir.

 

Après la concertation, vient le moment des choix. Au-delà des intérêts particuliers, l’homme politique doit dégager la vision de l’intérêt général sans laquelle le lien social se délite. Cela suppose du courage pour affronter les oppositions individuelles, corporatistes et partisanes. Il faut s’y résoudre, l’accepter et savoir décider. Une fois le cap arrêté, il faut le tenir. Il ne suffit pas de voter des lois ou de prendre des décrets : il reste à traduire ces choix dans la réalité. Nous voulons restaurer le sens de l’action publique en politique : donner des objectifs, définir les moyens, contrôler la progression et évaluer les résultats atteints. C’est un nouvel art de l’action politique que nous traduisons sous le terme de démocratie telle que nous la concevons. C’est n’est plus un leurre, c’est une réalité à laquelle nous ne pouvons échapper si nous ne voulons pas tomber dans des excès ni d’anarchie, ni de dictature car nous vivons dans un modèle républicain et démocratique si fragile que nos institutions et nos libertés sont aujourd’hui fortement menacées.

 

L’avènement de la cinquième république en France a vu monter une méfiance du peuple à l’égard de la politique et de nos dirigeants qui se traduit aujourd’hui encore plus que jamais par une désaffection de la chose politique. L’abstention lors des diverses et trop multiples élections n’en n’est qu’une des traductions visibles de nos citoyens envers ce rejet, cette méfiance. La violence des uns et des autres en est une autre.

Si les citoyens délaissent le terrain politique, si le pouvoir politique n’est plus reconnu dans toute sa légitimité, la voie sera ouverte à tous les dangers. Nos compatriotes veulent que l’efficacité et l’autorité du politique soient restaurées. Ils veulent de la clarté et de l’action. C’est ce que propose l’UED.

 

Nous avons aujourd’hui des convictions, des idées, des cultures différentes mais surtout des valeurs communes qui nourrissent notre action et s’incarnent de façon pragmatique dans notre vie.



Les hommes naissent libres et égaux en droits

 

Libres d’aller et de venir, de créer, de choisir notre ligne de vie. Nous croyons au destin individuel de la personne plus qu’au déterminisme social et collectif. Nous rejetons les systèmes qui étouffent la liberté en cherchant à tout encadrer. Le libre arbitre garantit l’épanouissement des talents et des individus. La liberté est la valeur essentielle qui permet d’imaginer, d’agir et de créer. La société toute entière en bénéficie dans tous les domaines : sociaux, éducatifs, économiques aussi bien que culturels. Le stéréotype d’individu et de société que tente de nous imposer la mondialisation est l’aboutissement de politiques restrictives en matière de liberté de l’individu comme il le prouve aujourd’hui. Jamais nous n’avons connu autant de conflits. Guerres civiles, militaires et économiques nous livrent une vision du monde qui n’est pas la nôtre. C’est tous ensemble que nous devons lutter pour préserver nos libertés. La liberté doit pouvoir s’exprimer naturellement et individuellement dans toutes les activités de l’être humain.

 

Mais la liberté ne doit pas faire oublier le respect dû à chacun de nos concitoyens. Notre liberté s’étend jusqu’à celle d’autrui, mais sans empiéter sur elle. La liberté ouvre la voie à la générosité et à la solidarité.


Elle affirme l’égalité de tous les citoyens et récuse toute mesure discriminatoire fondée sur le sexe, la race, les convictions philosophiques ou religieuses, les choix de vie personnels.


Pour sauvegarder nos libertés et notre individualité, il nous faut recréer un modèle social qui garantisse nos droits. Cela nous donne des devoirs, des obligations, mais aussi le droit retrouvé de la dignité, de la fierté : celle aujourd’hui d’être Français, et celle, demain, d’être Européen.

 

 

L’égalité, celle de tous, doit reposer sur des valeurs d’équité, de justice et de démocratie.

 

 « Être libre c’est être responsable ». La responsabilité s’exerce d’abord envers soi-même. Elle suppose d’être responsable de ses actes, notamment quand on enfreint les règles ou les contrats qui permettent la vie en société, sous peine de laisser se développer un sentiment d’impunité. La peur et la crainte menacent alors les plus faibles et les plus démunis d’entre nous, ceux qui ne peuvent se protéger ; la violence et le non respect de la loi finissent par détruire le lien social. La vie en société passe par le respect de la loi. Selon que la responsabilité existe ou disparaît, la vie en commun peut être facile ou, au contraire, insupportable. L’autorité de l’Etat et celle de la justice doivent assurer que chacun réponde de ses actes. L’égalité de tous face à nos devoirs est une nécessité pour le respect et la préservation de notre démocratie, elle est la garantie de nos libertés.

 

La responsabilité dépasse le seul fait de ne pas enfreindre la loi : c’est la conscience que l’on a certes des droits mais aussi des obligations et des devoirs à l’égard de la société. La responsabilité permet de bâtir une société de confiance, de justesse et de justice qui donne la possibilité à chacun de s’épanouir.

 

La responsabilité concerne enfin notre avenir. Aujourd’hui, nos modes de vie menacent l’intégrité et la vie même de la planète. La science donne les moyens de manipuler la vie. Si nous n’avons pas peur du progrès, nous devons nous en méfier. Si la science nous ouvre d’immenses possibilités, elle nous donne aussi les moyens d’assumer nos responsabilités mais ne doit pas nous faire oublier nos devoirs. Source d’un véritable progrès, elle doit être maîtrisée. Nous sommes responsables à l’égard des générations futures et nous avons le devoir de protéger notre environnement afin de garantir à tous les citoyens les libertés que leur donne notre modèle social. L’égalité, c’est faire le choix de donner à toutes et à tous la conviction qu’il est possible de vivre en parfaite harmonie dans une société ouverte, solidaire et tolérante.

 

 

La responsabilité nous apporte la dignité, le devoir de solidarité est celui de notre équilibre social. La cohésion sociale se bâtit sur la solidarité.

 

La solidarité et la fraternité doivent permettre de protéger chacun de nous contre les aléas de la vie : maladie, handicap, dépendance ou chômage. L’Etat est là pour que soit garantie la protection sociale à laquelle les Français sont légitimement attachés.


Mais la solidarité doit respecter l’individu. Elle ne doit pas se transformer en assistanat, par une distribution uniforme d’aides qui conduit à une forme d’accoutumance. L’assistanat décourage ceux qui travaillent et maintient dans l’inactivité ceux qui sont en difficulté. Le sens de la solidarité, c’est de donner à chacun la possibilité de rebondir et par exemple de se former tout au long de la vie.

 

Les formes diverses de solidarité développent la solidité du lien social et la générosité indispensable à toute vie collective. Elle commence au sein de la famille : la solidarité entre les générations prend une importance essentielle ; elle permet aux personnes âgées d’épauler les jeunes et aux jeunes de soutenir leurs aînés. La libre entreprise, petite ou grande, avec la participation des salariés et le dialogue social, les associations, les communautés de vies sont autant de lieux privilégiés, où se développe la solidarité.

 

La solidarité doit aussi s’exercer entre peuples. Par exemple lors de menaces climatiques : tremblements de terre, incendies, intempéries, mais aussi famine, guerre civile, épidémies, entre autres. La communauté internationale doit alors se mobiliser et l’Europe en particulier afin de porter aide et secours aux plus démunis, à ceux qui en quelques minutes, parfois, ont tout perdu. La France doit être le moteur mondial d’une solidarité sans faille envers tous ceux qui nous demandent de l’aide.

 

Faire de la politique, c’est vouloir être au service de la société et non pas prendre les pouvoirs de la société.



La politique, ce n'est pas mettre en place des machines à pouvoir. La politique, c'est devoir gérer le présent et construire l'avenir. C’est devoir rendre des comptes à tous nos citoyens, et pas seulement à nos électeurs ou à nos adhérents.


Or, si l'on vit aujourd'hui une crise politique, c'est que des problèmes entiers demeurent, gouvernement après gouvernement. L’éducation, l’emploi, les retraites, la santé, la réforme de l'état, etc. Tant que la méthode politique restera la même, les blocages resteront. Réformer, c'est avant tout un travail de fond, qui ne consiste pas à colmater ici et là les blessures et les traces qu’on laissé dans notre société des sujets mal traités.


Réformer, c’est aller plus loin par un travail de concertation et d’analyse sur les sujets qui nous préoccupent, l’ouverture d’un vrai dialogue social avec les partenaires concernés mais aussi avec l’ensemble des citoyens. Réformer, c’est aussi savoir prendre des décisions sages et justes pour tout a chacun.


Mais comment prendre des décisions sans consulter et y associer les partenaires sociaux ? Parce que chaque réforme, chaque décision doit être prise en toute responsabilité, nous devons avant tout nous poser la question : pourquoi réformer ? La réforme est-elle réellement nécessaire ou pas ? Le choix que je fais en apportant cette réforme va-t-elle résoudre les problèmes ou va-t-il seulement les déplacer ? Quels seront les effets pervers de celle-ci si il doit y en avoir ?


L’audace et la vérité seront l'obligation politique que nous devrons respecter dans les prochaines années.


Un état moderne et citoyen, respectueux de la démocratie et de l’environnement, un état humaniste, ouvert sur les questions de fond et de société, tel est l’engagement que nous prenons.

 

 

L’UED, n’est pas seulement une nouvelle manière de penser, de réfléchir, de concevoir les choses, c’est une nouvelle manière de travailler, une nouvelle façon d’aborder la politique et de proposer les réponses appropriées aux problèmes que connaissent nos citoyens. L’UED, c’est plus qu’un parti politique, c’est un nouveau concept en matière d’engagement politique.

 

 

 

Elément essentiel permettant à chacun d’apprécier et de connaître nos valeurs, la charte des valeurs de l’UED est un document qui donne et reflète l’image des valeurs de notre mouvement. Cette charte n’est en aucun cas un programme politique ou un règlement statutaire quelconque, il est juste le document clé qui justifie notre identité et notre différence face aux autres formations politiques Françaises et Européennes.


 

 

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